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Devenir suisse? La naturalisation en Suisse et dans le canton de Neuchâtel
Francis Matthey • Thomas Facchinetti
Devenir suisse? La naturalisation en Suisse et dans le canton de Neuchâtel
Francis Matthey • Thomas Facchinetti
En comparaison européenne, l’obtention de la nationalité suisse se caractérise par des exigences de base assez restrictives, des coûts souvent élevés et des modalités cantonales très variables. Le Conseil fédéral a proposé une réforme du code de la nationalité qui introduit des innovations importantes. De leur côté, les autorités neuchâteloises ont assoupli et simplifié le procédure cantonale et communale de naturalisation.
Né au Locle, Francis Matthey suit ses études à La Chaux-de-Fonds puis Neuchâtel où il obtient une licence en sciences économiques. Engagé au sein du parti socialiste, il est élu au Conseil communal de La Chaux-de-Fonds, au Conseil d’Etat du canton de Neuchâtel, au Conseil national et même au Conseil fédéral en 1993, avant de refuser cette dernière élection. Président de Expo 2001 dite « 02". Président de la commission fédérale des étrangers puis de la commission pour la question des migrations.
Thomas Facchinetti
Délégué aux étrangers du canton de Neuchâtel
Accords bilatéraux avec l’Union Européenne
Francis Matthey • Marc-André Salamin • Daniel Bürki • Jacques Balmer • Jean-Pierre Ghelfi • Michel de Perrot
Accords bilatéraux avec l’Union Européenne
Francis Matthey • Marc-André Salamin • Daniel Bürki • Jacques Balmer • Jean-Pierre Ghelfi • Michel de Perrot
Table ronde impliquant de nombreuses personnalités des mondes politique et économique.
Né au Locle, Francis Matthey suit ses études à La Chaux-de-Fonds puis Neuchâtel où il obtient une licence en sciences économiques. Engagé au sein du parti socialiste, il est élu au Conseil communal de La Chaux-de-Fonds, au Conseil d’Etat du canton de Neuchâtel, au Conseil national et même au Conseil fédéral en 1993, avant de refuser cette dernière élection. Président de Expo 2001 dite « 02". Président de la commission fédérale des étrangers puis de la commission pour la question des migrations.
Sous la présidence de Francis Matthey, conseiller national et conseiller d’Etat, la conseillère fédérale Ruth Dreifuss aborde le thème de l’anti-racisme. Cette conférence intervient à quelques jours de la votation fédérale du 25-26 septembre 1994 concernant les nouvelles mesures prévues contre le racisme (article 261 du Code pénal). Madame Dreifuss développe le propos que l’anti-racisme est « une forme exigeante de courage intellectuel et non pas une bienveillante disposition de coeur ». Elle présente l’anti-racisme comme étant un des fondements de la vie sociale qui est déterminé par la parole, la conscience historique et la loi d’un pays ou d’un peuple (trois points qu’elle prend la peine de développer séparément). Elle appuie son propos sur une vision aussi rationnelle que possible car la lutte anti-raciste doit être, selon elle, menée avec l’arme de l’intelligence. Elle souligne que si le racisme se refait menaçant, c’est à cause du manque de réflexion dans nos sociétés. Elle se situe ensuite personnellement dans la problématique avant que ne commence la partie d’échanges avec le public [55:45:00] où il est question notamment des instruments juridiques contre la haine sociale, la reconnaissance de certains peuples (Kurdes), l’importance de poser des garde-fous avec les lois.
Le 10 mars 1993, Ruth Dreifuss est élue Conseillère fédérale : elle a dirigé le département fédéral de l’intérieur jusqu’au 31 décembre 2002 avec la charge de réformer les assurances sociales. Toujours très engagée, elle soutiendra même après son départ du gouvernement l’introduction de l’assurance-maternité (2004), la libre circulation des personnes avec l’Union européenne et s’opposera aux restrictions des droits des étrangers et des requérants d’asile. Elle est aujourd’hui active dans plusieurs organisations non gouvernementales et internationales, notamment au sein de la Commission mondiale pour la politique des drogues et de la Commission internationale contre la peine de mort.
Francis Matthey
Né au Locle, Francis Matthey suit ses études à La Chaux-de-Fonds puis Neuchâtel où il obtient une licence en sciences économiques. Engagé au sein du parti socialiste, il est élu au Conseil communal de La Chaux-de-Fonds, au Conseil d’Etat du canton de Neuchâtel, au Conseil national et même au Conseil fédéral en 1993, avant de refuser cette dernière élection. Président de Expo 2001 dite « 02". Président de la commission fédérale des étrangers puis de la commission pour la question des migrations.
D’une Europe meurtrie à une Europe unie
Jean-Pascal Delamuraz • Francis Matthey • Jean-Martin Monsch • André Brandt
D’une Europe meurtrie à une Europe unie
Jean-Pascal Delamuraz • Francis Matthey • Jean-Martin Monsch • André Brandt
A l’occasion de la soirée officielle du cinquantenaire du Club 44, le conseiller fédéral Jean-Pascal Delamuraz (JD) retrace les étapes de la pensée européenne. Son exposé est précédé par les discours commémoratifs d’André Brandt (AB), président du Club, Jean-Martin Monsch (JM), président du Conseil communal de La Chaux-de-Fonds et Francis Matthey (FM), président du Conseil d’Etat neuchâtelois. En préambule, AB rend hommage à Georges Braunschweig pour avoir fondé le Club 44 à la sortie de la 2e Guerre, et salue ceux qui ont poursuivi la mission d’un lieu de dialogue humaniste. JM décrit La Chaux-de-Fonds comme un centre de culture, dont le Club est un pôle. Il le situe dans l’héritage de la tradition du mécénat bourgeois et de l’esprit de solidarité internationale qui anime la région. FM fait sienne la devise de Georges Braunschweig qui craignait que la modernité n’affaiblisse le développement de l’esprit humain. Dans un exposé qui alterne humour et rhétorique, JD décrit les diverses étapes de la pensée qui fonde l’unité du continent européen, citant des philosophes tels que Jean Monet et Paul Valéry. Il affirme son credo : construire l’Europe, c’est construire la paix. Lors du débat, JD répond notamment à une question sur l’échec des votations du 6 décembre 1992 (entrée de la Suisse dans l’Europe).
Né au Locle, Francis Matthey suit ses études à La Chaux-de-Fonds puis Neuchâtel où il obtient une licence en sciences économiques. Engagé au sein du parti socialiste, il est élu au Conseil communal de La Chaux-de-Fonds, au Conseil d’Etat du canton de Neuchâtel, au Conseil national et même au Conseil fédéral en 1993, avant de refuser cette dernière élection. Président de Expo 2001 dite « 02". Président de la commission fédérale des étrangers puis de la commission pour la question des migrations.
Jean-Martin Monsch
Conseiller communal; chancelier. !! C’est bien MOnsch, non MÖnsch comme tout le monde le dit sans faire attention !!
André Brandt
Conseiller d’Etat, radical. (1977) et Président des Rencontres de décembre du Club 44. Président du Club 44 (1993-2001)
Apports économiques, sociaux et politiques de l’émigration en Suisse et plus particulièrement dans les Montagnes (…)
Francis Matthey • Charles Augsburger • Jean-Martin Monsch • Rémy Scheurer
Apports économiques, sociaux et politiques de l’émigration en Suisse et plus particulièrement dans les Montagnes (…)
Francis Matthey • Charles Augsburger • Jean-Martin Monsch • Rémy Scheurer
Deuxième débat organisé dans le cadre de la célébration des 40 ans de présence et d’activité des Missions catholiques italiennes dans les Montagnes neuchâteloises. Avec la participation de Rémy Scheurer (RS), professeur en histoire à l’Université de Neuchâtel et Conseiller national; Francis Matthey (FM), Conseiller d’Etat; Charles-Henri Augsburger (CA), Président de la Ville de La Chaux-de-Fonds; et Jean-Martin Monsch (JM), Conseiller communal de la même ville. En introduction, RS retrace l’histoire des migrations dans le canton de Neuchâtel. FM expose ensuite les apports économiques de l’immigration dans les Montagnes neuchâteloises. CA évoque la problématique du rôle politique des émigrés. JM évoque l’immigration d’aujourd’hui, présentant les programmes d’intégration dans les écoles notamment. Lors du débat avec la salle, il est question de la peur de l’exode européen, de la crise actuelle et de la difficulté à obtenir un permis, certaines questions sont posée en italien aux politiciens.
Né au Locle, Francis Matthey suit ses études à La Chaux-de-Fonds puis Neuchâtel où il obtient une licence en sciences économiques. Engagé au sein du parti socialiste, il est élu au Conseil communal de La Chaux-de-Fonds, au Conseil d’Etat du canton de Neuchâtel, au Conseil national et même au Conseil fédéral en 1993, avant de refuser cette dernière élection. Président de Expo 2001 dite « 02". Président de la commission fédérale des étrangers puis de la commission pour la question des migrations.
Charles Augsburger
Conseiller communal, etc.
Jean-Martin Monsch
Conseiller communal; chancelier. !! C’est bien MOnsch, non MÖnsch comme tout le monde le dit sans faire attention !!
Rémy Scheurer
Conseiller national; professeur, puis recteur, Université de Neuchâtel
Et si on créait un nouveau canton du Super-Jura?
Mario Annoni • François Lachat • Francis Matthey • Hans Stöckli • Jacques Hirt • John Buchs • Jacques Stadelmann • Jean-Claude Leuba
Et si on créait un nouveau canton du Super-Jura?
Mario Annoni • François Lachat • Francis Matthey • Hans Stöckli • Jacques Hirt • John Buchs • Jacques Stadelmann • Jean-Claude Leuba
Ce débat, organisé en collaboration avec "L’Hebdo" et les radios locales RTN-2001, Radio Jura bernois, Fréquence Jura et Canal 3, réunit autour de la table de conférence du Club 44: Mario Annoni, conseiller exécutif du canton de Berne; François Lachat, ministre de la République et canton du Jura; Francis Matthey, conseiller d’Etat neuchâtelois; Hans Stoeckli, maire de Bienne; Jacques Hirt, maire de la Neuveville; John Buchs, maire de Saint-Imier; Jacques Stadelmann, maire de Delémont; et Jean-Claude Leuba, représentant de l’association Haute-Région. Diffusé en direct et animé par des journalistes radio, le débat commence par une interview de Jacques Hirt, qui a lancé l’idée d’une association des actuels cantons de Neuchâtel, du Jura et de la région du Jura bernois en une seule entité politique. Suivent les prises de position de François Lachat, John Buchs, Francis Matthey, Mario Annoni, Hans Stoekli, Jean-Claude Leuba et Jacques Stadelmann. En général, ces intervenants sont plus ou moins défavorables à la création d’un super Jura (excepté le maire de Delémont), mais sont favorables au développement de collaborations. Lors de la discussion l’idée d’un pacte interjurassien est évoquée. A la fin, le débat est ouvert au public.
Ministre du Gouvernement jurassien, co-président de la Communauté de travail du Jura (1989).
Francis Matthey
Né au Locle, Francis Matthey suit ses études à La Chaux-de-Fonds puis Neuchâtel où il obtient une licence en sciences économiques. Engagé au sein du parti socialiste, il est élu au Conseil communal de La Chaux-de-Fonds, au Conseil d’Etat du canton de Neuchâtel, au Conseil national et même au Conseil fédéral en 1993, avant de refuser cette dernière élection. Président de Expo 2001 dite « 02". Président de la commission fédérale des étrangers puis de la commission pour la question des migrations.
Hans Stöckli
Maire de Bienne (1991).
Jacques Hirt
Ancien maire de La Neuveville (1991).
John Buchs
Maire de Saint-Imier (1991).
Jacques Stadelmann
Maire de Delémont (1991).
Jean-Claude Leuba
Député
Votations des 22 et 23 septembre: Jean Cavadini - Francis Matthey
Jean Cavadini • Francis Matthey • Gil Baillod
Votations des 22 et 23 septembre: Jean Cavadini - Francis Matthey
Jean Cavadini • Francis Matthey • Gil Baillod
Les conseillers d’Etat neuchâtelois Jean Cavadini (JC) et Francis Matthey (FM) présentent les objets des votations cantonales des 22-23 septembre 1990, respectivement la rénovation de la Faculté des sciences de l’Université de Neuchâtel et la réorganisation administrative cantonale. Soirée animée par Gil Baillod. JC commence par présenter les arguments en faveur de l’octroi d’un crédit de 111 millions pour la rénovation des bâtiments du Mail. Après un aperçu historique, il explique les enjeux actuels de la politique universitaire neuchâteloise et défend la nécessité de développer le pôle des sciences. A 0:29:00, FM décrit le projet de réorganisation de l’administration cantonale qui compte 1800 postes de travail disséminés dans environ 50 lieux en ville de Neuchâtel. Il décrit les buts de cette rationalisation, qui installera des centres administratifs dans le Haut du canton. Lors du débat, il est notamment question des réticences des gens du Bas à venir travailler à La Chaux-de-Fonds.
Politicien; conseiller d’Etat; conseiller aux Etats
Francis Matthey
Né au Locle, Francis Matthey suit ses études à La Chaux-de-Fonds puis Neuchâtel où il obtient une licence en sciences économiques. Engagé au sein du parti socialiste, il est élu au Conseil communal de La Chaux-de-Fonds, au Conseil d’Etat du canton de Neuchâtel, au Conseil national et même au Conseil fédéral en 1993, avant de refuser cette dernière élection. Président de Expo 2001 dite « 02". Président de la commission fédérale des étrangers puis de la commission pour la question des migrations.
Gil Baillod
Journaliste, rédacteur en chef de « L’Impartial » (1993).
Neuchâtel et ses relations économiques avec le reste de la Suisse
Jean Carbonnier • Francis Matthey • Ernest Weibel • Max Frenkel • Gil Baillod • Denis Maillat
Neuchâtel et ses relations économiques avec le reste de la Suisse
Jean Carbonnier • Francis Matthey • Ernest Weibel • Max Frenkel • Gil Baillod • Denis Maillat
Forum organisé conjointement par le Club 44 et l’Institut du fédéralisme de l’Université de Fribourg, présidé par Jean Carbonnier (JC) et impliquant diverses personnalités des mondes économique et universitaire: les professeurs Max Frenkel (Uni de Fribourg et directeur de la Fondation pour la collaboration confédérale), Ernest Weibel et Denis Maillat (Uni de Neuchâtel), le rédacteur en chef de «L’Impartial» Gil Baillod et Francis Matthey, président du Conseil communal de La Chaux-de-Fonds. En ouverture du forum, présentation de l’Institut du fédéralisme, puis rappel de chiffres concernant la composition et l’état du tissu économique neuchâtelois. Un film présente le canton de Neuchâtel. Puis les intervenants débattent vivement des solutions pour sortir le canton de la crise, notamment le rôle que peut jouer la Confédération. Max Frenkel, seul alémanique autour de la table, se trouve dans la position d’interlocuteur confédéral pour les autres.
Président, Chambre neuchâteloise du commerce et de l’industrie
Francis Matthey
Né au Locle, Francis Matthey suit ses études à La Chaux-de-Fonds puis Neuchâtel où il obtient une licence en sciences économiques. Engagé au sein du parti socialiste, il est élu au Conseil communal de La Chaux-de-Fonds, au Conseil d’Etat du canton de Neuchâtel, au Conseil national et même au Conseil fédéral en 1993, avant de refuser cette dernière élection. Président de Expo 2001 dite « 02". Président de la commission fédérale des étrangers puis de la commission pour la question des migrations.
Ernest Weibel
Professeur de science politique, doyen de la Faculté de droit et des sciences économiques de l’Université de Neuchâtel (1976).
Max Frenkel
Journaliste à la « Neue Zürcher Zeitung » (1994).
Gil Baillod
Journaliste, rédacteur en chef de « L’Impartial » (1993).
Denis Maillat
Recteur, Université de Neuchâtel; économiste (1976).
J.-J. Rousseau et le sentiment de la liberté
Marc Eigeldinger • Francis Matthey
J.-J. Rousseau et le sentiment de la liberté
Marc Eigeldinger • Francis Matthey
Conférence d’inauguration de la saison 1978-1979 et du cycle Jean-Jacques Rousseau à l’occasion du Bicentenaire de sa mort. M. Francis Matthey, conseiller communal et président de séance, fait une longue introduction en parlant de Rousseau puis en présentant le conférencier, le professeur Marc Eigeldinger (ME), comme un "fils de La Chaux-de-Fonds". Passionné par Rousseau, ME vient de publier un deuxième livre sur le philosophe intitulé "Jean-Jacques Rousseau, univers mythique et cohérence". Dans un exposé très structuré et clair, il parle de la notion de "liberté" et de ce que Rousseau a écrit à ce sujet. Pour illustrer ces propos, le conférencier fait souvent recours à des citations tirées d’ouvrages comme "Le contrat social" ou "Les Confessions".
Professeur, Université de Neuchâtel (littérature du 19e siècle, spécialiste du romantisme français); poète, écrivain; natif de La Chaux-de-Fonds
Francis Matthey
Né au Locle, Francis Matthey suit ses études à La Chaux-de-Fonds puis Neuchâtel où il obtient une licence en sciences économiques. Engagé au sein du parti socialiste, il est élu au Conseil communal de La Chaux-de-Fonds, au Conseil d’Etat du canton de Neuchâtel, au Conseil national et même au Conseil fédéral en 1993, avant de refuser cette dernière élection. Président de Expo 2001 dite « 02". Président de la commission fédérale des étrangers puis de la commission pour la question des migrations.