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Les différents sens du mot liberté
André Vergez
Les différents sens du mot liberté
André Vergez
Professeur de philosophie de Besançon, André Vergez disserte sur les différentes facettes du mot "liberté", un terme utilisé dans des disciplines aussi diverses que la physique, l’économie, la politique ou la philosophie bien sûr. Il développe alors les réflexions de Sartre sur la notion de liberté. 35 personnes
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
Le devoir de tolérance
André Vergez
Le devoir de tolérance
André Vergez
Exposé du professeur André Vergez. D’après le programme du club 44 : "Etre tolérant envers les autres est aisé pour le sceptique, mais difficile pour celui qui croit à sa vérité, qui a des convictions. Comment dans ce cas accorder à autrui le droit à l’erreur ? Comment concilier une conviction sincère avec le devoir moral de tolérer d’autres opinions ? Un dilemne de toujours, particulièrement à notre époque où fleurissent fanatisme, intolérance et violence…"
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
Frédéric Nietzsche, notre contemporain
André Vergez
Frédéric Nietzsche, notre contemporain
André Vergez
Le professeur André Vergez évoque la figure du philosophe Nietzsche. D’après le programme du club 44 : "Nietzsche, mort en 1900 (après avoir sombré dans la folie dès 1889), est malgé sa célébrité un grand méconnu. Ni nationaliste, ni socialiste, ni surtout antisémite, ce grand Européen n’est en aucune façon le précurseur d’Hitler. Et bien qu’il ait raconté la "mort de Dieu" en de multiples versions, il a plus que tout autre le sens du sacré. Chaque instant est sacré et chaque instant est destiné à revenir pour l’éternité. Adorateur de la Vie, Nietzsche est le contemporain de toutes les idoles. En proclamant que même la vérité est d’une certaine façon une idole, Nietzsche met en question la philosophie elle-même."
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
Hegel et Schopenhauer
André Vergez
Hegel et Schopenhauer
André Vergez
Exposé du professeur André Vergez qui continue le cycle du club 44 "histoire de la pensée occidentale". D’après le programme du club 44 : "Hegel représente le sommet de la philosophie allemande, la doctrine du savoir absolu et l’optimisme absolu. Schopenhauer est très exactement son antidote. Pour lui le monde est horrible et absurde, et les hommes se régalent de cette horreur comme si la postérité de Sisyphe se disputait avec ardeur les morceaux de rocher. Schopenhauer est le seul philosophe qui soit rigoureusement athée."
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
Descartes et Spinoza
André Vergez
Descartes et Spinoza
André Vergez
Conférence du professeur André Vergez sur les fondateurs du rationalisme moderne. D’après le programme du club 44 : "Il y a un rapport certain entre la Hollande du XVIIe siècle, le pays le plus avancé du monde à l’époque (qui avait autant de navires que la France, l’Angleterre et l’Espagne réunies), ce pays où nos deux philosophes ont vécu, et leur philosophie qui prend pour modèle une pensée toute mathématique."
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
L’histoire de la philosophie est-elle « Le roman d’un tricheur » ?
André Vergez
L’histoire de la philosophie est-elle « Le roman d’un tricheur » ?
André Vergez
Le professeur André Vergez s’interroge sur l’histoire de la philosophie occidentale. Il tente notamment de répondre aux questions suivantes : "La philosophie se veut conquête de la vérité. Comment dès lors peut-il y avoir une histoire de la philosophie, c’est-à-dire une succession de philosophies différentes dans le temps? L’histoire de la philosophie occidentale dessine-t-elle un progrès comme l’histoire des sciences? Ou bien chaque grande philosophie a-t-elle sa vérité? Mais alors comment concilier ces diversités, ces richesses multiples et contradictoires avec la prétention d’atteindre la vérité?" (D’après le programme du club 44)
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
L’antisémitisme
André Vergez
L’antisémitisme
André Vergez
Professeur de philosophie à l’Université de Besançon, André Vergez (AV) définit, puis fait l’histoire de l’antisémitisme en Europe. Conférencier habitué du Club 44, AV commence par définir l’antisémitisme au travers de la pensée de philosophes antisémites, et d’autres qui ne le sont pas comme Nietzsche. Il compare cette notion au sionisme, avant de se demander : « mais en fait qu’est-ce qu’un Juif ? ». Il disserte ensuite sur l’absurdité de cette tendance raciste, de l’analyse psychologique, aux diverses formes de pogroms qui ont marqué l’histoire. Le sujet déclenche un véritable débat, où il est question de l’antisémitisme de Wagner et Voltaire, et du judaïsme de Spinoza, entre autres.
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
Jean-Paul Sartre et l’existentialisme
André Vergez • Max Schapiro
Jean-Paul Sartre et l’existentialisme
André Vergez • Max Schapiro
Professeur de philosophie à l’Université de Besançon, André Vergez (AV) résume les principaux axes de la pensée existentialiste de Sartre. Le président de soirée explique que cette soirée d’hommage à Jean-Paul Sartre - conférence suivie d’une table ronde - a été organisée en écho à l’avalanche médiatique suscitée par le décès de Jean-Paul Sartre. AV commence par opposer la pensée de Sartre à la philosophie qui voudrait que l’histoire ait un sens. Il décrit le concept d’absurdité dans la logique de l’existence, qui fait de la liberté la clé de la destinée humaine et le néant une ouverture idéale vers tous les possibles. Il explique la différence entre être et exister et montre la dimension idéaliste de cette philosophie. Après la diffusion d’extraits enregistrés de la conférence donnée par Sartre le 10.12.1959 au Club (non enregistrés), AV est rejoint par l’historien Max Schapiro (MS) et le psychologue Emile-Albert Niklaus (EN). La table ronde puis le débat sont animés par le théologien Jean-Louis Leuba. MS raconte ses souvenirs de la « montée » de la pensée existentialiste dans les milieux estudiantins et la visite de Sartre à La Chaux-de-Fonds en 1946. EN souligne le problème de la communication avec l’autre chez Sartre. Lors du débat, il est question des années allemandes de Sartre, de son refus de la pensée scientiste et de la question de la responsabilité.
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
Max Schapiro
Historien
Le suicide, hier et aujourd’hui
André Vergez
Le suicide, hier et aujourd’hui
André Vergez
Professeur de philosophie à l’Université de Besançon, André Vergez (AV) présente les différentes explications et thèses sur le suicide depuis Durkheim. Présenté par Maurice Favre comme l’un des conférenciers favoris du Club, AV fait à son tour la louange de ce lieu de libre-expression. Après avoir passé en revue les statistiques et les taux de suicide dans le monde, il présente et critique les thèses de Durkheim puis de l’historien Emmanuel Todd. Il passe ensuite en revue les approches psychiatriques et psychanalytiques du suicide. Il termine sur la notion d’institution du suicide, parfois héroïque, et s’interroge sur sa moralité. Le débat porte sur l’euthanasie, et les suicides amoureux et politiques, entre autres.
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
La notion de péché a-t-elle encore un sens?
André Vergez
La notion de péché a-t-elle encore un sens?
André Vergez
Professeur de philosophie à l’Université de Besançon, André Vergez (AV) disserte sur la notion de péché aujourd’hui. AV est présenté comme le recordman des conférences pour ses nombreuses venues au Club. Il a publié sa thèse sur la question du péché, note le président de soirée. S’appuyant sur les grands auteurs chrétiens, sur la bible et des textes philosophiques, AV définit le péché comme un acte mauvais perpétré avec la conscience du mal. Il disserte sur l’utilité de cette notion dans notre société : se prouver par exemple que Dieu est bon, s’il y a des injustices, c’est à cause des péchés humains. Il réfléchit ensuite au sentiment de culpabilité et termine par une leçon morale : le péché est au passé, rien ne sert d’avoir de remords. Plein d’humour et de paradoxes, son exposé lance un débat intéressant.
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
Qu’est-ce qu’un fou?
André Vergez
Qu’est-ce qu’un fou?
André Vergez
André Vergez s’interroge sur la folie dans un monde qui se veut rationnel, et sur le terme de "fou", jugé injurieux et remplacé par "malade mental", choix qu’il rejette. Il discute de la distinction faite entre un fou et un idiot, à laquelle il préfère l’opposition fou/sage, expliquant que la folie (paranoïa) de J.-J. Rousseau par ex. ne l’empêchait pas de raisonner, mais qu’elle était le signe d’un excès de subjectivité. Il distingue trois catégories de fous: "fous du cerveau" ou "fous organiques" (par ex. Nietzsche et Maupassant); "fous socio-culturels et politiques" (par ex. Soljénitsyne et les objecteurs de conscience) et enfin "fous énigmatiques" (folie mystérieuse aux causes pas vraiment connues). Il passe ensuite en revue les trois grands acteurs du progrès en matière de psychiatrie au 20e siècle, qui ont permis de réduire les barrières entre le malade, le bizarre et le normal: la psychanalyse, la théorie de la communication de Gregory Beitson (?) et la sociologie. La conférence se termine sur la lecture d’une lettre du médecin-chef de l’Hôpital psychiatrique cantonal de Perreux attaquant le prof. Vergez et à laquelle ce dernier répond avec verve.
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
L’intelligence est-elle un don? Est-elle un mythe?
André Vergez
L’intelligence est-elle un don? Est-elle un mythe?
André Vergez
Dans le cadre d’un questionnement global du club 44 sur la formation, le professeur de lettres André Vergez (A.V) traite dans la première partie de la soirée et de l’enregistrement du vaste sujet de l’intelligence. AV débute son exposé en énonçant et critiquant les méthodes de la psychologie en matière de test d’intelligence. Il se questionne sur les diverses définitions de l’intelligence, sur ses possibles origines génétiques et sur l’irremplaçable faculté d’apprentissage. Il met en garde son auditoire sur la tendance à considérer le quotient intellectuel comme une garantie scientifique, car il serait alors propice, de par son caractère restrictif, au développement des inégalités. Pour AV, il faut en effet tenir compte des influences socioculturelles. Il démolit notamment avec brio l’idée reçue, qui consiste à croire que les enfants noirs américains sont moins intelligents que les enfants blancs. Il s’ensuit d’autres explications étayées de l’interprétation des psychologues sur les particularités génétiques du mongolisme et des gémellités. En guise de conclusion, A.V souligne que le quotient intellectuel constitue globalement le reflet de l’environnement socioculturel de l’enfant et qu’une instruction solide et efficace pédagogiquement est nécessaire pour combler de possibles inégalités. Durant la seconde partie de l’enregistrement, une série de questions de l’auditoire sont posées à l’orateur. Elles portent entre autre sur : la définition de l’intelligence, les réalités statistiques, le rôle de vulgarisateur du conférencier, les psychologues scolaires, le rôle de l’école, la pratique des tests en pays socialistes, le quotient intellectuel
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
Nietzsche, philosophe trahi
André Vergez
Nietzsche, philosophe trahi
André Vergez
Conférence donnée par le professeur André Vergez, professeur à la Faculté des Lettres e Besançon. Selon le programme du Club 44 : «L’oeuvre de Frédéric Nietzsche, moderne et révolutionnaire, a marqué profondément la pensée occidentale du 20e siècle. Elle a cependant souvent été mal comprise. Ainsi on a voulu voir en Nietzsche le prophète du surhomme et du nazisme. En réalité il n’est ni antisémite, ni raciste, ni même pro-allemand; ses idées sont celles d’un contestataire-type, ennemi de la morale et du conformisme. André Vergez, dont les membres du Club connaissent le talent à faire vivre les idées, saura passionner ses auditeurs pour ce philosophe dont on n’a pas encore mesuré toute l’importance."
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
La révolution sexuelle
André Vergez
La révolution sexuelle
André Vergez
André Vergez (AV), professeur à l’Université de Besançon et écrivain. La libération des tabous, notamment dans le domaine sexuel, est une des caractéristiques du milieu du XXe siècle. C’est aussi une des facteurs d’incompréhension entre générations. Et pourtant cette révolution des idées et des moeurs a commencé bien avant les travaux de Wilhelm Reich et de Marcuse, et même bien avant la "Lady Chatterley" de D.H. Lawrence (1928). C’est pour mieux comprendre les origines et les raisons de la situation en 1973 et pour indiquer ce que représente la révolution sexuelle à cette épode, que AV réalise cet exposé clair, intelligent et vivant. AV s’attache à montrer la révolution sexuelle principalement par deux aspects : le premier, c’est le fait que la sexualité est désormais reconnue comme une valeur, et donc comme une exigence, et le deuxième c’est la libération, l’émancipation de la femme. L’exposé permet également d’aborder des sujets aussi controversés que l’homosexualité, la liberté et l’éducation sexuelles des jeunes, etc.
Le professeur André Vergez (A.V) s’interroge en premier lieu sur la peur des parents. Les mauvais résultats scolaires de leurs enfants précipitent l’angoisse d’une non-réussite professionnelle. L’élève y est sensible et agit de façon positive ou négative. Avec un certain recul, A.V souligne que de bons résultats scolaires ne sont pas un gage de succès au travail, car la société est injuste. Il faut en effet des relations, du capital et en dernier lieu les diplômes. Des attitudes telles que la non-probité et la flatterie se révèlent payants. Cependant l’école est également dans l’erreur, car les méthodes ludiques et abstraites d’apprentissage ne reflètent pas les dures réalités de la vie. De plus, les bons élèves sont généralement paisibles, attentifs et dociles. Pour être un bon élève il faut de la motivation. Ce dernier s’adaptera aux exigences de la société et ne se révèlera pas nuisible sauf peut-être pour lui-même. Le mauvais élève est l’objet de toutes les attentions. Le psychologue scolaire s’intéressera à ses aptitudes, à son quotient intellectuel et aux raisons affectives qui peuvent les affecter. Selon Bourdieu, à l’échelle de la population, la position sociale des parents influe sur la capacité de réussite scolaire des enfants. Cependant il faut se garder de toutes conclusions rigides.
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
Qui est Marcuse?
André Vergez
Qui est Marcuse?
André Vergez
En préambule André Vergez, insiste sur le fait qu’Herbert Marcuse, de par ses théories critiques de la société est un des maîtres à penser des mouvements contestataires allemands, américains des années 60. Si d’ailleurs, ce dernier a fait une présentation en 1962 au club 44, par contre en France il est quasiment inconnu. Herbert Marcuse né à Berlin en 1898, fréquente le milieu intellectuel marxiste de la capitale puis se rend à Fribourg pour suivre le séminaire d’Heidegger. Il fait sa thèse sur Hegel. A l’avènement du nazisme, il s’exile aux Etats-Unis, où recherche, critique des rouages du système soviétique et l’enseignement de la philosophie politiques l’occuperont durant plusieurs décennies. Dans un second temps le conférencier présente le philosophe sous trois angles : sa philosophie, ses rapports avec Freud et la critique de la société industrielle. Marcuse s’est très intensément intéressé à la philosophie classique et se réfère à l’idéalisme éternel. Il puise son savoir dans la pensée de Kant et Hegel et de Marx qu’André Vergez développe avec fougue [00:16:15]-[00:37:28]. Pour Marcuse, Freud fait entre autre une critique de la société utile en s’intéressant à l’intime de l’homme mais il se fourvoie en cherchant à absolument à le guérir. S’il éprouve une certaine sympathie pour Freud, c’est tout le contraire pour Erich Fromm qu’il trouve trop modéré dans ses idées.[00:37:29]-[00:51:15] Marcuse fait preuve de pessimisme politique. Les progrès sociétaux et la sexualité sont pour lui négatifs, car ils empêchent la contestation et dissimulent l’exploitation. Dans son idée de la tolérance, il se désole aussi que les gens pensent qu’ils sont libres parce qu’ils ont droit à la parole, car finalement l’inertie perdure [00:51:16]-[01:03:37].
Origine : France ; Professeur de philosophie à l’Uni de Besançon (1978) et écrivain; également psychothérapeute (1970).
Qu’est-ce qu’une femme?
André Vergez
Qu’est-ce qu’une femme?
André Vergez
Dans le cadre de sa réflexion sur la femme, Le professeur, André Vergez (A.V) commence par évoquer le questionnement d’Aristophane au sujet du couple amoureux dans Le banquet de Platon. Puis, avec l’humour qui le caractérise, André Vergez énonce les portraits peu flatteurs de la femme dépeints par quelques grands écrivains et poète. Par la suite le conférencier met en garde bien évidement contre ses déclarations à l’emporte-pièce mais également contre les préjugés ancestraux envers la femme portant par exemple dans la tradition culturelle sur son infériorité naturelle. Pour illustrer son propos, le conférencier retrace l’évolution historique de l’enseignement donné à la gente féminine et à relater une partie des débats qui ont mené quelques politiciens à demander le droit de vote de la femme dans les années 30 en France. Dans la seconde partie sa conférence Andrée Vergez s’applique à brosser la doctrine traditionnelle de la femme. Il évoque l’opinion des conservateurs courtois ou impolis du dix-neuvième et vingtième siècle. En résumé la femme ne doit pas faire preuve d’indépendance, car il faut qu’elle s’occupe pieusement de son foyer et de sa famille pour des raisons biologiques ou historiques. Quant aux explications avancées par les philosophes et les ethnologues, elles ne sont guère plus avantageuses pour la femme actuelle. Dans la phase conclusive de son exposé, André Vergez souligne que le salut de la femme viendra d’elle-même et d’une société moderne plus sensible aux compétences qu’au masculin.