Guy Isnard

Vrai ou faux? Les enquêtes du Sherlock Holmes de la peinture

L’ancien commissaire divisionnaire à la direction de la Police nationale française, Guy Isnard (G.I.) traite le sujet de la falsification des oeuvres d’art. G.I débute son exposé en relatant son parcours tout d’abord dans le groupe de répression de la contrefaçon dans le domaine de la mode. Puis il s’intéresse au monde de l’art. Ayant peu de connaissances sur le milieu et les techniques artistiques, il fréquente les différents acteurs ainsi que l’École du Louvre. Bien que n’ayant pas participé à l’affaire, G. I. résume à titre d’exemple l’affaire des faux Vermeer peint par le faussaire Hans Van Megeren. L’arnaque peut également revêtir divers personnages ou facettes comme un marchand ou une fausse signature. G.I souligne l’importance de se faire accompagner lors du processus d’achat par un bon expert même si les oeuvres sont protégées par des conventions nationales et internationales. Puis, il s’attarde sur la relation existante entre l’artiste reconnu et le faussaire souvent méconnu ou peu doué. Dans la seconde partie de sa conférence Guy Isnard joue au jeu du vrai-faux en montrant une série d’oeuvres originales et copiées à l’aide de diapositives. Il explique en quoi diffèrent les toiles.
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Guy Isnard

Commissaire, spécialiste des questions de faux (1974).
Type d’événement
Conférence
Mots clés
peintureartscréationœuvretraficillégalitéfraude
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