Sous le regard de Yoan Jeudy, la rouille se fait poésie. Obsessionnelle, sa traque de l’objet soumis au temps, en pleine corrosion, livre des photographies qui transforment le quotidien en déliquescence en une myriade de bijoux d’orfèvre. Jouant du zoom, il souligne l’union délicate entre le métallique et l’organique, ce dernier reprenant progressivement le dessus dans les friches industrielles laissées à l’abandon.
Yoan Jeudy
Établi à Besançon et travaillant à La Chaux-de-Fonds, Yoan Jeudy – autoproclamé « frouzalier » – jongle entre différents métiers et passions qui vont de la sociologie à la restauration, en passant par la musique électronique, le bedjumping et la photographie qu’il pratique depuis de nombreuses années en quête de cœurs impromptus, de pochoirs et de rouille.
Yoan Jeudy
Établi à Besançon et travaillant à La Chaux-de-Fonds, Yoan Jeudy – autoproclamé « frouzalier » – jongle entre différents métiers et passions qui vont de la sociologie à la restauration, en passant par la musique électronique, le bedjumping et la photographie qu’il pratique depuis de nombreuses années en quête de cœurs impromptus, de pochoirs et de rouille.