Épris de justice, Jacques Secretan a décidé il y a de nombreuses années de s’intéresser à des cas de condamnés à mort et en particulier ceux dont il pense qu’ils pourraient être innocents. C’est cette possibilité qui anime le journaliste lorsqu’il enquête sur différents cas, par exemple celui de Debra Milke. Prenant le contre-pied de l’évidence – comme tout récemment dans le cas de Ségalat – il cherche constamment à s’assurer qu’il ne s’agit pas d’une erreur.
En collaboration avec la libraire La Méridienne.
Jacques Secretan a été actif comme journaliste RP dans plusieurs médias helvétiques. Devenu journaliste indépendant, il s’est notamment fait connaître par des articles et livres sur les erreurs judiciaires aux USA tels que «Une mère innocente condamnée à mort aux États-Unis", ainsi que par des documentaires, notamment sur Jaime Elizalde, réhabilité post-mortem par l’OEA, Organisation des États Américains. Il a fondé l’association Vie en jeu.
