Corruption d’agents publics ou de personnalités politiques étrangères, trafics de stupéfiants, trafic d’armes, escroqueries à grande échelle, détournement de subventions publiques : la liste est (trop) longue des crimes dont on retrouve la trace sur la place financière suisse. Comment expliquer ce phénomène, alors que l’arsenal législatif du pays, destiné à lutter contre le blanchiment d’argent "sale", est l’un des plus complets au monde? Que faire pour que le crime ne pais plus?