Aux frontières de la science : l’étrange aventure du « Matin des magiciens » et du mouvement « Planète »
Le physicien nucléaire, Jacques Bergier (J.B), se présente à l’auditoire en insistant notamment sur ses diverses expériences professionnelles et en expliquant les circonstances de sa rencontre avec le poète et romancier Louis Pauwels. Dans cette collaboration nait l’ouvrage Le matin des magiciens manifeste du réalisme fantastique. J.B explique que l’ouvrage a eu un tel impact que la création de la revue Planète s’imposait. On y trouve des faits réels auxquels s’ajoute des explications ou hypothèses plus au moins fantastiques. J.B donne à l’auditoire l’exemple de l’’utilité de "tectiques". Il s’ensuit une description des différentes sources utilisées pour l’écriture du Matin des magiciens et des explications sur quelques théories telles que l’existence d’hommes extrêmement surdoués que J.B nomme mutants ou de civilisations antérieures très avancées technologiquement. J.B a l’honnêteté intellectuelle d’avouer que dans la première édition du livre, ils se sont fourvoyés en reprenant certaines explications du livre Le troisième oeil de Lobsang Rampa. J.B partage avec l’auditoire les divers projets qui sont en cours de réalisation comme la suite du Matin des magiciens et la création d’une véritable encyclopédie d’anthologies et d’une collection Présence planète. J.B consacre la fin de sa conférence à se défendre notamment : sur les accusations de charlatanisme parfois proférées et à préserver la présence d’un humour souvent ironique dans ses publications.
Physicien nucléaire, ingénieur et écrivain scientifique; fondateur du mouvement d’idées créé autour de la revue « Planète"; co-auteur avec Louis Pauwels du « Matin des magiciens".