à l’est des rêves, résister aux crises politiques et climatiques

Après avoir travaillé en Alaska avec le peuple Gwich’in, Nastassja Martin entame une recherche comparative au Kamtchatka. Dans son ouvrage à l’est des rêves, elle raconte comment une minorité autochtone de la Russie orientale a choisi de retourner vivre dans la forêt après la chute de l’ex-URSS et à la suite d’un rêve. Ce petit groupe renoue alors un dialogue quotidien avec la nature et l’animisme, regagnant en autonomie loin des crises systèmiques. Une manière de vivre qui, aux yeux de l’anthropologue, répond au dérèglement des écosystèmes et ouvre d’autres horizons possibles pour nos sociétés. - Emilie Bovet, socio-anthropologue, maître d’enseignement à l’ESAV, animera la rencontre.
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Type d’événement
Rencontre
Cadre

Dans le cadre du volet II des états mentaux généraux initiés par le MBAL, en écho à l’exposition Scia del Monte ou les utopies magnétiques à voir jusqu’au 15 septembre.
En collaboration avec La Méridienne

Domaine(s)
EnvironnementSciences humainesSociété
Mots clés
climatcrise politiquesociétérêveanimalnaturelittérature
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