Le flûtiste d’origine neuchâteloise Aurèle Nicolet (AN) illustre musicalement une causerie libre sur la flûte dans la mythologie et la mort. Il parle ensuite de ses souvenirs de Neuchâtel, de l’omniprésence des enregistrements sur le marché et des managers "gangsters" notamment. En deuxième partie, AN s’exprime sur la place de la musique dans la cité. Lors de la discussion, il est aussi question des relations du musicien à la presse et de l’organisation des études dans les Conservatoires.